je sais mon esprit est.... mais bon je l'ai écris depuis et il fallait bien que je publie quelque chose donc ..
Ils en étaient encore à s'affronter
oubliant que j'étais là à les observer
fatiguée de regarder dans un sens
puis dans l'autre ,
j'ai décidé finalement de rester neutre
pour attendre
que le calme revienne
Mais...
les Dieux étaient déchaînés
et aucun sacrifice ne les calmaient
aucunes voix , ils n'écoutaient .
La déesse faisait gronder le tonnerre
le dieu, lui ripostait avec la foudre
et moi j'en recevais les éclats.
il m'en a fallut du temps
pour enfin comprendre ...
Quelle guerre effroyable ce fut
dans les sueurs froides
de mes nuits je m'en souviens
Pourtant ils n'en demeuraient pas moins pour moi ,des dieux
l'un par son regard pouvait arrêter la pluie de mes yeux
l'autre par sa douceur
effaçait toutes mes peurs
mais dans cette clameur
ils m'avaient oubliés
et des frayeurs
ils m avaient imposés
finalement
je me suis levée
je les ai laissé
croyant que mon absence
leur rappellerai leur inconscience
mais ce n'ai qu'après
bien après qu'ils ont vu que ne n'étais plus là
Quand la foudre ne se laissa plus manipuler par le dieu
Que le tonnerre refusa de gronder à l'appel de la déesse
Quand tous les mots qui blessent furent usés
Et qu'ils eurent enfin atteint le point de non retour,
Alors ils virent , mais j'avais déjà décidé de ne plus croire en eux
Et dire qu'un jour ils s'étaient épris l'un de l'autre
et dire qu'un bel amour peu conduire là
Juste que la passion enflamme
et que personne elle n'épargne
au point d’effacer les souvenirs
les plus beaux
d'Amour et d'union.
Alors tous ont oublier qu'un jour le dieu s'est épris d'elle
alors tous vous diront que jamais la déesse n'a admiré le dieu
tous ont oublier cet Amour duquel ils furent témoins
tous, sauf moi
sauf mes rêves
ceux qui vinent après mes cauchemars , me redonner confiance
ceux qui sont en faite les souvenirs les plus beaux
ceux où me tenant par la main , ils sont là de part et d'autre
ceux où enfin je sais que fruit d'un Amour j'ai été
Oui loin du chaos et du gouffre, un jour ils se sont aimés
mais ça faudrait-il le dire en murmurant
de crainte qu'ils ne vous entendent
et que le souvenir remémoré ne les pousse à jeter sur vous l'ardeur de leur colère .
Ils en étaient encore à s'affronter
oubliant que j'étais là à les observer
fatiguée de regarder dans un sens
puis dans l'autre ,
j'ai décidé finalement de rester neutre
pour attendre
que le calme revienne
Mais...
les Dieux étaient déchaînés
et aucun sacrifice ne les calmaient
aucunes voix , ils n'écoutaient .
La déesse faisait gronder le tonnerre
le dieu, lui ripostait avec la foudre
et moi j'en recevais les éclats.
il m'en a fallut du temps
pour enfin comprendre ...
Quelle guerre effroyable ce fut
dans les sueurs froides
de mes nuits je m'en souviens
Pourtant ils n'en demeuraient pas moins pour moi ,des dieux
l'un par son regard pouvait arrêter la pluie de mes yeux
l'autre par sa douceur
effaçait toutes mes peurs
mais dans cette clameur
ils m'avaient oubliés
et des frayeurs
ils m avaient imposés
finalement
je me suis levée
je les ai laissé
croyant que mon absence
leur rappellerai leur inconscience
mais ce n'ai qu'après
bien après qu'ils ont vu que ne n'étais plus là
Quand la foudre ne se laissa plus manipuler par le dieu
Que le tonnerre refusa de gronder à l'appel de la déesse
Quand tous les mots qui blessent furent usés
Et qu'ils eurent enfin atteint le point de non retour,
Alors ils virent , mais j'avais déjà décidé de ne plus croire en eux
Et dire qu'un jour ils s'étaient épris l'un de l'autre
et dire qu'un bel amour peu conduire là
Juste que la passion enflamme
et que personne elle n'épargne
au point d’effacer les souvenirs
les plus beaux
d'Amour et d'union.
Alors tous ont oublier qu'un jour le dieu s'est épris d'elle
alors tous vous diront que jamais la déesse n'a admiré le dieu
tous ont oublier cet Amour duquel ils furent témoins
tous, sauf moi
sauf mes rêves
ceux qui vinent après mes cauchemars , me redonner confiance
ceux qui sont en faite les souvenirs les plus beaux
ceux où me tenant par la main , ils sont là de part et d'autre
ceux où enfin je sais que fruit d'un Amour j'ai été
Oui loin du chaos et du gouffre, un jour ils se sont aimés
mais ça faudrait-il le dire en murmurant
de crainte qu'ils ne vous entendent
et que le souvenir remémoré ne les pousse à jeter sur vous l'ardeur de leur colère .
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